Titre : |
LE LIBRE JEU : REFLEXION SUR L'APPROPRIATION DE L'ACTIVITE LUDIQUE |
Type de document : |
texte imprimé |
Auteurs : |
Maude BONENFANT |
Editeur : |
LIBER EDITIONS |
Année de publication : |
2016 |
Importance : |
152 p. |
ISBN/ISSN/EAN : |
978-2-89578-497-5 |
Prix : |
16 euros |
Catégories : |
JEU
|
Résumé : |
« Le jeu est souvent défini selon les catégories manichéennes du “ bien ” et du “ mal ”. Ici, il est accusé d’être cause d’une perte de temps, d’aliénation, de renfermement, de perte de repères ; là, loué pour être un moyen de socialiser, d’apprendre, de se découvrir, de se divertir. À la vérité, le jeu est inextricablement lié à des considérations éthiques et appelle à un questionnement sur le rapport que le joueur entretient avec lui. Les philosophes l’ont compris depuis longtemps. Il est l’occasion d’apprivoiser l’indétermination du monde en développant des moyens de se l’approprier. Ce que nous faisons du jeu est un apprentissage de ce que nous pouvons faire de notre vie. L’espace d’appropriation n’est pas exclusif à l’objet-jeu et le jeu, considéré comme une technique, devient un moyen de nous ménager un espace de liberté dans les limites de notre vie. Le jeu devient ainsi une éthique de vie. En s’appropriant le jeu du monde, en en actualisant la part virtuelle grâce à son imagination, l’individu prend d’autant plus part à la création du sens du monde.»
[Résumé de 4e de couverture]
Au sommaire :
. Chapitre 1 : Penser le jeu
. Chapitre 2 : Le sens su jeu
. Chapitre 3 : Des limites du jeu à la liberté ludique
. Chapitre 4 : L'espace d'appropriation
. Chapitre 5 : Le virtuel du jeu
. Chapitre 6 : l'éthique du joueur. |
Permalink : |
https://pmb-cafoc.ac-nantes.fr/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=9146 |
LE LIBRE JEU : REFLEXION SUR L'APPROPRIATION DE L'ACTIVITE LUDIQUE [texte imprimé] / Maude BONENFANT . - LIBER EDITIONS, 2016 . - 152 p. ISBN : 978-2-89578-497-5 : 16 euros
Catégories : |
JEU
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Résumé : |
« Le jeu est souvent défini selon les catégories manichéennes du “ bien ” et du “ mal ”. Ici, il est accusé d’être cause d’une perte de temps, d’aliénation, de renfermement, de perte de repères ; là, loué pour être un moyen de socialiser, d’apprendre, de se découvrir, de se divertir. À la vérité, le jeu est inextricablement lié à des considérations éthiques et appelle à un questionnement sur le rapport que le joueur entretient avec lui. Les philosophes l’ont compris depuis longtemps. Il est l’occasion d’apprivoiser l’indétermination du monde en développant des moyens de se l’approprier. Ce que nous faisons du jeu est un apprentissage de ce que nous pouvons faire de notre vie. L’espace d’appropriation n’est pas exclusif à l’objet-jeu et le jeu, considéré comme une technique, devient un moyen de nous ménager un espace de liberté dans les limites de notre vie. Le jeu devient ainsi une éthique de vie. En s’appropriant le jeu du monde, en en actualisant la part virtuelle grâce à son imagination, l’individu prend d’autant plus part à la création du sens du monde.»
[Résumé de 4e de couverture]
Au sommaire :
. Chapitre 1 : Penser le jeu
. Chapitre 2 : Le sens su jeu
. Chapitre 3 : Des limites du jeu à la liberté ludique
. Chapitre 4 : L'espace d'appropriation
. Chapitre 5 : Le virtuel du jeu
. Chapitre 6 : l'éthique du joueur. |
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